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Cake day: June 20th, 2023

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  • Personnellement, l’idée d’un prix libre me paralyse complètement, je ne suis pas forcément bien placée pour pouvoir déterminer ce que serait un prix correct, pas assez riche pour viser haut sans trop me poser de questions, pas assez pauvre pour considérer que je peux entrer en payant très peu (et même si je l’étais, je n’oserais pas le faire). En plus, je n’ai aucune estime de moi donc j’aurais peur d’être jugée pour avoir trop ou pas assez payé. C’est tellement de stress que je ne profiterais pas du truc au final, donc je n’irai jamais à un événement à prix libre, même si je trouve que c’est un concept intéressant. Si un prix repère est indiqué, par contre, ok.

    Ça me rassure de lire que je ne suis pas isolée et que pas mal d’autres gens ont des problèmes avec ça. C’était un article intéressant à lire.





  • If it’s the 6th Republic and new constitution stuff that make you think of populism, it’s not really the case. The current French constitution was more or less imposed by De Gaulle in very specific circumstances (the political crisis caused by the Algerian independance war). A number of people (among which Mélenchon) think it gives way too much power to the president and that we should go back to a more parliamentary system.







  • « Quelle connerie, cette loi. Ça n’a fait que monter le RN… », peste depuis en privé le président de LR, Eric Ciotti, inquiet des ambitions du parti lepéniste à étouffer et à remplacer un jour la formation de droite. A l’époque, Emmanuel Macron, Alexis Kohler et Gérald Darmanin s’étaient persuadés qu’en légiférant sur l’immigration, ils prendraient de court le parti d’extrême droite et l’affaibliraient.

    Mais merde, quand est-ce que les gens vont finir par comprendre que ça ne marche pas et que ça fait toujours monter le FN/RN ?


  • C’est évoqué dans l’article (sans forcément attribuer cette stratégie à Macron) :

    Le rapport de force parlementaire est tel que l’hypothèse d’une dissolution « flottait dans l’air depuis longtemps », raconte l’ancien ministre de la culture Jacques Toubon. Ces derniers mois, François Hollande n’hésite plus à l’évoquer dans les dîners en ville comme une stratégie possible. Elle gagne les sénateurs, à l’abri du risque de perdre leur siège, notamment ceux du parti Les Républicains (LR). Certains pensent qu’en laissant Jordan Bardella diriger Matignon, ses électeurs seraient déçus et la droite républicaine pourrait regagner l’Elysée en 2027.

    Ils sont complètement cinglés.